PROMO

C'est partie, promotez comme des petits fous.

Toulouse-Blagnac, un groupe de touriste visite la chaîne d’assemblage de l’Airbus A380.

Un visiteur : « N’est-ce pas là le premier A380 qui doit être livré à la compagnie Singapore Airlines ? »

Le guide : « Non il s’agit du premier A380 destiné à un particulier, le milliardaire Bill Random. »

Un visiteur : « Qui est ce Bill Random ?»

Le guide : « Un type désoeuvré, vivant de petites combines, qui a eu la chance de sa vie en héritant de son oncle. Il a découvert dans ses affaires, un brevet informatique non exploité. Son oncle est l’inventeur de la fonction random (valeur aléatoire) utilisé dans tous les langages de programmation et donc tous les logiciels du monde.
Maintenant les royalties coulent à flot. Il paraît que la première chose qu’il a faite est de s’offrir les « services » de Pamela Anderson. »

Un visiteur : « Mais qu’est-ce qu’un homme seul peut faire d’un avion qui peut transporter jusqu’à 800 passagers ? »

Le guide : « Bill Random souhaite devenir lutteur à la FGB et il avait besoin d’un transport adéquat pour ses déplacements lui permettant de conserver son confort en toutes circonstances et avoir tous ses petits effets personnels à disposition.
Cet avion contiendra une salle de fitness, des courts de tennis, un bowling et des piscines pour garder la forme. Il y aura aussi une salle de presse pour les interviews, un studio d’enregistrement et une salle de spectacle pour ses promos.
Malheureusement, nous n’avons pu lui installer, pour des contraintes techniques évidentes, un parcours de golf. »

Un visiteur : « La FGB, c’est une fédération de lutte ? »

Le guide : « M. Random souhaite marquer la lutte et s’est dit qu’il marquerait l’histoire d’une fédération en devenir. Il a fait appel à des consultants afin de sélectionner La fédération qui détrônera toutes les autres. »

Les visiteurs : « Oooohhhhhh ! »

La nuit est déjà bien entamé. La caméra se dirige vers une cave située à l'extérieur d'une massure. Les battants en bois s'ouvrent par magie et l'image descend vers une petite pièce aux murs de grès, éclairée par une faible bougie. On entend comme une lame en train d'être aiguisée.

On commence à distinguer une ombre difforme, voutée vers une espèce de table de travail... on discerne dessus comme des chaines aux extremités. L'ombre aiguise effectivement un couteau de boucher.

L'ambiance est humide, et on peut voir cafards et quelques rats vagabondant sur le sol en terre... La poussière rêgne dans ces lieux à l'exception de la fameuse table de travail.

Il y a comme une lueur. La lame est enfin tranchante comme un papier.
L'ombre se relève, avec le couteau, et se dirige vers une porte munie d'une cavité constituée de barreaux, comme une porte de cellule. On entend comme une respiration lente mais angoissée.

" Je t'ai retrouvé Kronos. Un travail à finir ici et j'arrive ".

Il tourne la tête vers la caméra.

" Tout compte fait, deux petits travaux à finir avant mon arrivée ".

Fade Out.

Voix off suave : « Bientôt …. Sur le ring de la FGB… une légende va naître : Bill Random »

Bill Random, se trouve sur le ring et salue la caméra !
Il a l’air d’un binoclard gringalet et ne semble pas à l’aise.

Voix off suave : « Aujourd’hui il va faire la démonstration de ses talents et va marquer d’ores et déjà un grand coup dans le monde de la lutte car il va affronter… GOLDBERG !!! »

Bill Goldberg en personne est sur le ring, il pratique des échauffements.
La cloche sonne… Bill Random propose une épreuve de force.
Goldberg accepte et… stupéfaction il plie les genoux face à Bill random.
Random lui assène une petite claque et Goldberg s’effondre.

Random monte sur la troisième corde et saute sur son adversaire. Au même moment des colombes s’envolent autour du ring.

Voix de réalisateur avec un accent chinois : « Coupez ! Bill… tu peux nous refaire ce saut plus lentement.»

Bill Random : « John, on est obligé de faire cette scène au ralenti ? Oh shit une de ces sales bêtes m’a chié dessus. Grmblf la prochaine fois, je prends Quentin comme réalisateur de mes promos ».

Goldberg : « Bon, où est mon pognon ? »

John Woo : « Coupez j’ai dit ! ».

L'action se situe dans une salle de sport dans un quartier à problème d'une ville quelconque.

On voit un homme entrainer quelques jeunes défavorisés à la boxe. Puis rentre un coursier.

" Une lettre 'sieur, une lettre pour vous "

" Ha merci fiston " dit l'homme en sortant du ring et en prenant la lettre.

Le jeune coursier semble attendre quelque chose.

" Et bah quoi ? "

" 'sieur, yé souis roumain, mon père est mort, ma mère est handicapée et mon père est parti, veux pièce siou plait "

" Oui bien sur, prend ce billet de 20 dollars. Car l'Amérique c'est ça: de la bonté, de la générosité et des billets de 20 dollars. "

" Oh 'sieur vous en avez d'autre ? "

Mais l'homme est déjà repartie dans son vestiaire pour lire la lettre.


Au bout de 5 min, il ressort dans la salle de sport et s'écrit à un vieil homme se tenant sur une canne ( ou l'inverse ):

" Mon ami, prépare mes valises, je viens de recevoir une offre qu'on ne refuse pa. Je pars en France. "

10 h du matin, Bill Random prend son petit déjeuner en peignoir de soie à bord de son A380.
Pendant que son Maître d’hôtel tartine son pain de caviar, il demande à sa secrétaire personnelle, Judy, de lui donner son agenda du jour.

Judy est vêtue d’un tailleur rouge court, ses cheveux sont ramenés en chignon et elle porte des lunettes. Cette ancienne candidate à Miss America a 25 ans, est polyglotte, bardée de diplômes (MBA en gestion et le droit à Harvard) et dispose d’un QI exceptionnelle de 165.
Elle est la pierre angulaire de l’organisation de Bill Random, la seule personne dont il peut accepter les remarques.
Le montant de son salaire est plus indécent que les gâteries qu’elle prodigue à son patron.

Judy : « Votre avion fait route en ce moment vers Redmond où vous devez déjeuner avec Bill Gates ».
Bill Random : « Sacré Billou, il va encore vouloir renégocier le pourcentage de Royalties. Je vais pouvoir le taquiner sur le fait que dans un an je le dépasse pour devenir l’homme le plus riche du monde. »

Judy : « Dans l’après-midi, vous avez votre séance d’entraînement avec Bret Hart pour apprendre les techniques de lutte au sol ».
Bill Random : « Pour la séance suivante, je veux Kurt angle ! »

Judy : « C’est noté. Après Redmond nous faisons route pour San Francisco où vous avez Rendez-vous avec Paris Hilton. »
Bill Random : « Vous avez préparé ma petite surprise ? »
Judy : « Oui nous avons loué Alcatraz et acheté tous les accessoires demandés ».
Bill Random : « Chouette, elle va pouvoir me montrer ce qu’elle a appris en prison ».

Judy : « Je dois vous avertir que votre promo avec Goldberg n’a pas été bien accueillie par les fans sur internet qui la juge peu crédible ».
Bill Random : « Qu’on achète les fans ou que l’on fasse pression sur les sites de lutte! »
Judy : « Euh cela me parait impossible. Internet est trop volatile pour être contrôlé ».
Bill Random : « Et sur les hébergeurs, comme on avait fait pour emmerder ce petit site minable qui a lancé une nouvelle négative à mon sujet »
Judy : « FN.Nation.com en effet été paralysé quelques temps… mais ils ont changé d’hébergeur. »

Bill Random : « Bah quelque part les fans ont raison, il est temps de faire ma marque à la FGB.
Judy, veuillez prendre note de la petite liste de commission suivante, voilà je voudrai acheter la FGB, l’institute y compris Kronos, Sharpy et Harmonia.
Achetez-moi également la ceinture de champion heavyweight, les arbitres, les commentateurs et pour faire bonne figure Immortel, Vileny et Power. Par contre leur clochard, ils peuvent le garder…
Crédit illimité comme d’habitude.»

Judy : « Sauf votre respect, c’est la gloire que vous visez. Conquis aussi facilement, ce titre n’aura aucune valeur et vous n’entrerez pas dans l’histoire de la lutte. »
Bill Random réfléchit intensément : « Vous avez raison… comme toujours. Ah shit cela va être plus compliqué que je ne pensais. »

Je suis Power, je suis un athlète complet. Je suis aimé des foules, je leur sert de modèle.

Je viens d'un coin paumé du Wyoming. un endroit où pour avoir quelque chose il fallait se battre. Je me suis entrainé pour être le plus fort, le plus habile, le plus malin, afin de quitter ce lieu où ma famille vivait depuis de sgénératrions. Cette famille qui m'a appris des valeurs comme le respect d'autrui, l'abnégation, l'humilité.

Tout mon existence a été bercé par une envie: un titre, celui de champion du monde. Cette fois çi personne ne pourra m'empêcher de réaliser mon rêve.

Kronos tu as besoin de moi comme de chacun des autres lutteurs pour faire vivre ta fed, ne l'oublie pas. Cette fois ci je deviendrais enfin un champion, seul, sans des compllots. J'en fais le serment.

On retrouve Boggart en backstage de la FGB, qui se rend à rendez vous avec Kronos…Quand soudain une femme s’avance vers lui. C’est Terry Mac'Onneil qui est actuellement en train de prendre quelques images télévisé, afin que ceci serve un jour d’archive, à la genèse de la FGB.

Terry Mac'Onneil : Pardon…pardon...Euh..Monsieur…Vous pouvez sortir d’ici, c’est pas un refuge pour les sans-abri ici…Et y’a pas non plus de soupe populaire au menu…Bref, si vous n’avez pas compris, ceci est une propriété privée et vous gâcher les belles prises de vues de mon caméramans, alors veuillez sortir.

Boggart (se grattant les fesses) : Ta gueule la bourgeoise…Je suis ici pour voir un dénommé krounos…Kornosse…

Terry Mac'Onneil : Vous voulez dire Kronos ??

Boggart : Ouais !! Il est où ce con ??

Terry Mac'Onneil : Vous voulez le voir pourquoi ??

Boggart ( se faisant le nez) : Cela, c’est pas tes affaires ma grosse dame…

Terry Mac'Onneil : Ne me dites pas que vous venez parler bizness avec Kronos !!

Boggart : Je viens ici pour le rendre célèbre, lui et sa fédération de merde…Tu dois savoir chérie, que tu as devant toi, le plus gros bagarreur de rue…

Terry Mac'Onneil : Je…Que…Quoi ?? Vous n’allez pas me dire que kronos vous à recruter ??

Boggart : Ferme ta gueule et donne moi une gnôle !!

Terry Mac'Onneil : Une gnôle ??

Boggart : Une bouteille de vin, ma salope…Rien de tel qu’un bon vin de table, pour dresser la table et te convier dans mon lit, ce soir…

Terry Mac'Onneil : Mais…Vous êtes un goujat ??

Boggart : Ouais…Mais j’ai la cote avec les femmes…C’est pour cela que je suis sans le sou, parce que j’ai perdu tout mes divorces. Les femmes d’aujourd’hui, ne peuvent même plus se prendre une baffe, sans aller à la police…

Terry Mac'Onneil : On est pas dans un pays du Moyen-Orient ici…

Boggart (s’énerve) : Moyen-Orient, hein ?? Moyen-Orient ?? (hausse le ton) Tu sais de quoi tu me parles, là ?? J’en reviens de là-bas…J’ai vu…J’ai vu…Des tas de choses horrible pour quelqu’un qui n’a pas les tripes nécessaires…(boggart semble psychotique en ce remémorant le passé)

Terry Mac'Onneil : Ouais, j’y suis aller une fois en touriste au Moyen-Orient, et j’ai pas trouver cela désagréable…Dans quel pays avait vous été ??

Boggart : Irak…Ce putain de bourbier en Irak…ma section…ce sang…tous ces morts…Mes amis…(boggart se tiens la tête entre ses mains et semble torturé en se rappelant son passé…)

Terry Mac'Onneil : hé ho, çà va ??

Boggart : Oh putain, espèce de connasse, j’ai le goût de te démolir la gueule, pour m’avoir fait rappeler ce moment.

Terry Mac'Onneil : Joue pas au rambo, espèce de clodo…Ok ?? Si kronos à engager une femme comme moi, c’est parce que je sais me défendre, hein…

Boggart : Ouais, en même temps, oublie pas qu’il viens d’engager un pauvre clochard comme moi, ce Kronos…Alors, n’en fait pas une référence…D’ailleurs, il est où, ce trou du cul ??

Terry Mac'Onneil : Il est là-bas…C’est ce type charismatique qui est là-bas…

Boggart (s’approchant du visage de terry) : Buuuuuuuurrrrrrrrrrrpssss, merci la gueuse…

Boggart suite à son rôt en pleine face de terry, s’en va en direction de kronos…

Boggart : Hep minus, je suis celui qui va faire de toi un homme riche…

Kronos : Je suis déjà riche…mais qui est tu ??

Boggart : Putain, tu envoies une pétasse du nom de harmonia me recruter et tu me reconnaît pas ?? Je me suis pourtant mit sur mon 31, aujourd’hui…Mais bon, sache que dans la rue et dans un pays, mon nom en à fait trembler plus d’un…Je suis Boggart.

Kronos : boggart, hein ?? Je t'imaginais autrement...Mais bon...Ok, alors, juste deux règles à savoir pour toi et j’espère que ton cerveau arrivera à bien les imprimer :
1) Ne reparle jamais d’harmonia comme cela…
2) N’oublie jamais la première règle…

Boggart (se curant l’oreille) : Putain, les femmes me ramène que des problèmes, moi…Bon oublions cela, je commence quand ?? J’ai une soudaine envie de démolir des faces, moi…

Kronos : Tu sembles confiant…j’espère que ta renommé, d’excellent bagarreur, chez les zonard, va se confirmer sur MON ring…

Boggart : Tu peux toujours m’affronter ici et maintenant, si tu veux tester mes aptitudes ??

Kronos (s’approchant de lui et le défiant du regard) : J’vais pas me salir les mains avec un type qui se vante de pouvoir me rapporter du pognon…

Boggart : Dommage….Mais de toute manière, faut que j’aille pisser. Où sont les chiottes ??

Kronos : Va chier…Je suis pas ton guide…Tu veux peut-être que je te ramène un café, aussi ??

Boggart (s’avance vers Kronos et lui tapote la joue) : On va bien s’entendre, toi et moi…

Kronos (foutant une grosse baffe à boggart qui titube) : Troisième règles : Ne recommence jamais cela !!

Boggart souriant et se tenant la joue : Les baffes, c’est pour les femmes…Envoie moi, une de tes recrue, dans TON ring et je te montrerais comment doit ce battre un vrai mec…

Kronos : Si j’ai le temps de me pencher sur ton cas, j’y réfléchirais, mais en attendant, dégage…

Boggart : A la revoyure, mec…Mais oublie jamais que dehors, c’est MA rue et que j’ai déjà combattu sévèrement, contre toute forme d’envahisseur pour la défendre…

Boggart quitte kronos et ce dernier se remet tranquillement au travail, sans avoir eu l’air d’être impressionnait par cette grande masse de Boggart…

Power vient d'arriver au buiilding où se tient les bureaux de la FGB. Il doit rencontrer Kronos et Harmonia pour l'établissement du contrat qui devrait se faire à la conférence de presse de la journée.


Tout semble tranquille dans le bâtiment. Trop tranquille.

" c'est qu'au moindre bruit qui dérange kronos on est viré... au meilleur des cas.... "


Quel tyran ce Kronos. Quelqu'un doit vraiment faire quelque chose. Quelqu'un qui aura assez de pouvoir pour lui faire face. Qui et comment ? Il se devait de trouver un moyen. lui n'était qu'un simple athlète mais il y avait bien quelqu'un sur cette terre qui pourrait lui faire face bon sang...

Un avion… une coursive… une porte (Bon le décor est planté ...).

La porte s’ouvre pour laisser passer Bill Random qui referme sa braguette.
Judy le suit en tamponnant un kleenex autour de ses lèvres.

Bill Random : « Ah j’en avais bien besoin ! Je me sens beaucoup plus détendu».
Judy impassible : « A votre service Monsieur. »

Bill Random : « La vision de la promo de Vileny m’a vraiment retourné.
Brrrrr Quel être horrible ! Il me fout les jetons ce gars.
Judy, il faudra faire en sorte que je n’ai aucune feud contre ce boucher. Je voudrai aussi éviter Immortel, Destiny et Power, trop athlétiques à mon goût. Pour ma réputation, je ne veux pas avoir à faire avec le clodo Boggart. »

Judy : « Mais Monsieur, si vous évitez tous les gros bras de la FGB, vous n’aurez aucune possibilité de remporter le titre ! »
Bill Random : « Mais c’est bien embêtant ça. Et vous avez trouvé une solution pour pallier les heu… quelques carences de mon corps délicat ? ».

Bill Random percute une masse imposante et en tombe sur le cul (au propre comme au figuré).
Il vient de percuter une créature (d’origine africaine noire) littéralement énorme.

Bill Random : « Que qu’est ce… »
Judy : « Je vous présente le garde du corps qui vous accompagnera sur le ring :
The Big Great Bozo ! »

Bill Random : « Pourquoi reste-t’il à 4 pattes ? »
Judy : « C’est la position qu’il affectionne dans votre avion, trop bas de plafond, il mesure quand même 2,32 m ! »

Bill Random : « Waowww ! C’est l’homme le plus grand du monde ? »
Judy : « Les quelques rares personnes qui le dépassent sont trop fragiles, malades ou agées. Lui a un peu de coffre. »

Bill Random : « J’aurai préféré avoir Mike Tyson. »
Judy : « Grâce à l’envergure de ses bras, il peut… disons … chatouiller vos adversaires lorsque l’attention de l’arbitre est attiré ailleurs ! »

Bill Random : « Judy, vous êtes géniale ! Mais où avez-vous trouvé ce prodige de la nature ? »
Judy : « Dans un cirque que l’on vous a acheté. Les autres phénomènes de foire qui forment sa famille vivent maintenant dans l’opulence, à vos frais ».

Bill Random, un ton plus bas : « On peut donc être sûr de sa loyauté ? »
Judy, également un ton plus bas : « On s’occupe aussi de sa petite amie, la femme à barbe ».
Bill Random : « Hé hé en cas de problème, on pourra toujours le menacer de la raser. »

On retrouve Sharpy, qui viens de débarquer de l’aéroport et qui se dirige vers les coulisses de la FGB. Kronos lui à donner rendez-vous. Une fois sur les lieu, Sharpy, qui vient de traverser différents couloirs, sans trace de Kronos, s’arrête pour demander à un ouvrier qui s’affaire à préparer le premier Show, où se trouve Kronos…

Sharpy : Hep toi, tu me dire où se trouve mon mentor Kronos ??

L’ouvrier : Le boss ??

Sharpy : hein ?? Non, je parle de Kronos le lutteur.

L’ouvrier : Bah ouais…le boss.

Sharpy : Bon laisse tomber, tu dois confondre…

Sharpy continue sa route et tombe sur deux types qui prépare une énorme enseigne où il y est inscrit « COUNTDOWN »

Sharpy : Quelqu’un pourrait me dire où je peux trouver Kronos ?

L’ouvrier : Le boss est là-bas…C’est le type qui viens de frapper ce clochard…Mais méfiez vous, Kronos n’est pas un tendre et en plus, il paye mal…

Sharpy s’avance vers Kronos et se dernier viens juste de mettre fin à sa précédente conversation avec le clochard…

Sharpy : Hep, ça va mentor Kronos ?? Ce clochard vous cause des problèmes ??

Kronos : Oh, ce n’est rien…Enfin, pour l’instant…Mais dis donc, toi, t’es en retard…

Sharpy : L’avion à pris du retard…Et cela fait un p’tit moment que j’erre dans ces maudits couloirs…Faut vraiment être un p’tit homme ou vouloir pallier un manque naturel, pour construire un endroit aussi grand que cela…

Kronos : Ahem…c’est juste parce que ta pas le sens de l’orientation…

Sharpy : Ha au fait, faut te méfier, quelqu’un usurpe ton identité et tout le monde l’appelle Kronos le boss…

Kronos : Euh Ouais…Sharpy, suit moi…

Kronos emmène Sharpy dans les dédales de l’aréna et ils finissent leurs route en plein milieu d’un ring et dans une salle vide. Sharpy est stupéfait, mais ne comprend pas.

Kronos : Tu te rappelle tout le pognon que l’on à gagné à la fnnf et dont tu n’as jamais vu la couleur ??

Sharpy : Ouais…

Kronos (montrant l’aréna et le ring à Sharpy) : Et bien, voilà à quoi il à servit…
Sharpy : Quoi ?? C’est quoi que cette embrouille ??

Kronos : C’est pas une embrouille…Disons que ceci nou…me…m’appartiens…Je suis le boss de la FGB !!!

Sharpy (dépité et abasourdit) : Quoi ?? Tu…te…

Kronos : L’institute va enfin avoir un palace digne de ce nom…

Sharpy : Et…Que…NOOOOONNNNNN !!!

Kronos : Quoi non ??

Sharpy : Tu peux pas faire cela…Tu peux pas devenir un Boss…Je vais te…

Kronos : Tu vas me quoi, Sharpy ??

Sharpy : Non rien, mon mentor…Je vais te serrer la main en guise de félicitation…

Sharpy sers la main de Kronos…Il l’a sert fort, même.

Sharpy : Bon, et moi, je suis quoi là-dedans ?? Suis-je ton bras droit ??

Kronos : Euh…non…Harmonia tient déjà ce rôle…

Sharpy : Je vais te…

Kronos : Ouais ??

Sharpy : Je vais te dire que tu as fait un excellent choix…Bon, maintenant si votre excellence n’a plus besoin de mes services, je vais commencer à m’entraîner en vue de mon futur, ici… car je crois que je vais avoir un sacré paquet de cul à botter…

Kronos : Tiens, signe moi ton contrat, avant de partir…

Sharpy : Un contrat ?? Depuis quand un membre de ta famille à besoin d’un contrat avec toi…

Kronos : Depuis que je suis le « BOSS ».

Sharpy : Laisse moi lire ce contrat avant « BOSS «.

Kronos : Tu n’as pas confiance en moi ??

Sharpy : Vous m’avez appris à ne pas signer de contrat à la va-vite…

Kronos : Bon tiens, le voilà…

Sharpy lis le contrat et semble outrée…

Sharpy : Quoi ?? Je n’ai aucun profit sur mon nom et les ventes de mes produits ??

Kronos : Bah c’est pareil qu’avant…ce que tu gagnes est reversé dans les caisses de l’institute…

Sharpy : L’institute, hein ?? Te rappelle-tu au moins les fondements de cette collaboration ??

Kronos : Ouais…C’était de t’apprendre tout ce que je sais…enfin, presque tout…

Sharpy : Ah ouais ?? T’es sur de cela ??

Kronos : Euh ouais…Pourquoi ??

Sharpy prend le contrat et le signe…

Sharpy : Ô boss, compte sur moi dans les prochaines, pour te rappelais, le « pourquoi » de la genèse de l’institute…

Kronos (se foutant royalement de Sharpy) : Maintenant, laisse moi travailler, Sharpy…Ces maudits ouvrier, sans leurs Boss derrière eux, donc moi, font n’importe quoi…

Sharpy quitte Kronos et il tombe nez à nez avec Boggart…Et ce dernier à pas l’air content.

Boggart : Pourquoi tu portes cette cagoule…T’es un terroriste ?? Car moi, j’aime pas les terroriste…il me rappelle de vilaine chose.

Sharpy : C’est juste parce que je suis encore plus laid que toi…Mais si tu as un problème avec cela, va en parler au « Boss », car c’est lui qui à eu l’idée de cette cagoule…

Boggart : Hahaha, c’est un sacré Boss, que l’on à là…Il me plait, moi…

Sharpy : Ouais…ouais…

Sharpy bouscule Boggart et s’en va…Ce dernier rigole s’en va aussi de son coté…

On retrouve Vileny dans sa log... cave ? Il y a eu quelques changements dedans. Il y a une énorme croix.. et quelqu'un y est crucifié dessus.
Il est vivant... pour l'instant ( ) mais il souffre ( ).

Vois tu Bone Collector, j'ai entendu tes projets de pourrir l'existence de Kronos. Et je ne peux te laisser réduire mes projets à néant le concernant.

Il s'approcha de la porte de la cellule.

Mais dans l'immédiat, y a quelqu'un d'autre qui se met sur mon chemin.
POWER, tu n'aurais jamais du rejoindre la FGB. Tu as fait l'erreur de te défendre pour ce premier match qui devait me voir victorieux. Dans un sens, je le suis, mais ce n'est pas suffisant pour moi.

Il tend la main vers la porte.

Et j'aimerai énormément t'avoir comme invité bientôt.

Puis il se tourne vers sa table de travail. Il ramasse une longue lame ébréchée, limite rouillée. Puis observe Bone Collector.

Pour l'instant, et si nous nous détendions ?

L'image disparait sur un cri inhumain...

On retrouve l'Immortel alors que le show numéro un de Countdown vient de s'achever. un mec bizarre en costume qui se préten djournaliste insiste pour lui poser des questions.

Mec bizarre qui se prétend journaliste: Mr. l'Immortel, s'il vous plaît, vos impressions après ce premier main event qui vous a vu vaincre les plans de Kronos, notre patron.

Immortel: Oui tu le mentionnes très bien, avec pegase nosu avons réduit le sprojets de Kronos à néant. Et ce n'est qu'un début. Cela fait trop longtemps qu'i: me met des bâtons dans les roues. Mais maintenant je ne suis plus suel, j'ai le repréentant des actionnaires de la FGB avec moi, j'ai Pegase.

Mec bizar... heu.. le mec quoi: Justement cela ne serait pas un signe pour vous qu'il est temps à viser plus haut qu'ujn smple championnat.

Immortel: Simple championnat ? Tu sais ce que cela veut dire quand tu gagne un " simple championnat ", quan dtu deviens le meilleur ?

Le mec: Je veux dire, n'est ce pas un signe que vous allez avoir peut-être
avoir votre mot à dire à la direction ?

Immortel: Sans aucun doute; mais pour l'insntant, je n'ai hâte qu'une seule chose, revenir la semaine prochaine à Knockdown et botter encore des fesses. Surtout si cela peut emmerder le fameux boss...

Il s'en va aussi sec qu'un... heu... raisin sec ? ( ouais bon ça va ).

A près le premier Countdown, nous retrouvons Bill Random, son garde du corps The Big Great BOZO et sa secrétaire Judy dans les couloirs de l’arena.

Bill Random : « Vous vous rendez compte Judy de ce que Harmonia m’a dit ? »

Countdown : Harmonia a écrit:

Je me moque de vos richesses…

Bill Random : « C’est horrible, les vraies valeurs se perdent. »

Pégase qui passait par là : « Oui c’est vrai. Où sont les valeurs de solidarité, d’entraide, de courage et d’altruisme. Mais ne vous êtes faite pas. Moi, Pegase, Commissaire spécial mandaté par les actionnaires, ferait en sorte qu’un véritable lutteur, comme l’Immortel, touche au titre suprême et non une marionnette de Kronos, voire pire Kronos lui-même. »

Pegase passe son chemin.

Bill Random : « Il est dingue ce type. Je parlai de la saine et sainte valeur de l’argent.
Il fut un temps où pour un million de dollars, on vendait son âme, on tuait père et mère.
Quelle triste époque vivons nous… »

The Big Great BOZO: “La valeur de la richesse, c’est un pauvre qui te la donnera, car les vraies richesses sont en chacun de nous. »

Bill Random, un ton plus bas à Judy : « Je veux que BOZO la ferme. Je ne veux plus le voir ouvrir la bouche que pour pousser des grognements. Il doit avoir une gimmick d’attardé. Un géant noir philosophe, ce n’est pas crédible et puis, c’est moi qui doit attirer les projecteurs ! »

Judy : « C’est noté. »

On retrouve Destiny face aux caméras pour une promo après Countdown.

Oui c'est bien moi, Destiny, le faisceur de destins, tout comme l'annihilateur de carrière. Si vous n'avez pas la foi, le courage d'aller plus loin, autant changer de carrière. Et c'est pour cela que j'anéantirai quiconque n'y crois pas comme je l'ai fait avec.. heu... mon adversaire... ce soir.

Maintenant une chose, Kronos. Je veux juste que tu n'oublies pas que j'ai accepté l'offre de venir dans ce show. Tu es venu me voir en coulisse, chose que tout le monde ignore, pour me montrer le chemin de la sortie. Et moi je t'ai répondu avec un contrat signé en bonne et dû forme. Tu as voulu savoir qui était responsable de mon retour sur les rings et j'ai refusé de te le dire. Maintenant que l'effet de surprise est passé je peux bien te l'avouer.

Oui, Kronos, c'est Pegase qui m'a envoyé cete lettre pour me ramener sur les rings. Il m'a bien fait comprendre que tu ne joueras plus les coups vicieux qui ont fait ton nom à la SPW. Je suis ici pour gagner, et un jour, je redeviendrais le champion. Il suffit d'avoir al foi. Et j'ai la foi. Comme j'ai la foi que ton rêgne est déjà terminé alors qu'il a à peine commencé.
Qui que vous soyez, vous subirez votre destinée de mes mains.

Destiny quitte laissant al caméra filmer dans le vide.

On voit la porte d'un bureau qui s'ouvre et une femme rousse en sortir visiblement satisfaite, puis la caméra entre dans le bureau. On peut y apercevoir une autre femme vêtue d'une longue robe blanche à l'allure grecque. La femme, visiblement Harmonia, range des papiers dans un classeur, quand le téléphone se met à sonner. Elle décroche de façon sérieuse:

Harmonia: Oui bonjour.... Oui... Bien sûr père... Je viens de signer une des premières diva de cette fédération.... ..... ..... Non Sharpy tu ne peux pas la zigner.... Puis-je reparler à mon père..... DONNE LUI LE COMBINER MAINTENANT!!! SINON, JE..... Ah Père! Lamalia son nom, oui.... .... SHARPY!!!!!!! .... ...... ...... Non mais père, fout lui une claque à ce clébard! Merci. Non, pas vraiment une lutteuse, mais elle va pouvoir remonter le moral des troupes....

Harmonia esquissa un sourire en coin.

Harmonia: Bien sûr Père, je ne recruterai que les meilleurs.... Je sais... Je sais..... Mais Gilbert n'a pas vraiment de contrat.... disons qu'il a besoin d'argent et on l'a engagé pour pas grand chose.... Un peu d'argent pour chaque apparition Ha! ha! Oui... Bien sûr Père! Aller bisoux.

Harmonia racroche le combiné visiblement satisfaite. On entend cogné à la porte, puis la rousse revient dans la pièce.

Harmonia: Ahh Lamalia! Justement, mon père est plutôt content de te savoir parmis nous... et puis Sharpy l'est un peu trop, je suis sûre qu'il doit laisser des petits cadeaux sur le tapis de mon père... Alors ta mission sera de devenir la manager d'un bon lutteur évidement... Bonne chance!

Lamalia: Parfait! Vous pouvez compter sur moi! Je vais de ce pas essayer de me trouver un poulain...

Puis la femme se dirige vers la sortie sous le sourire satisfait de Harmonia.

Lieu : Ring d’entraînement de la FGB.

La double porte s’ouvre violemment sur un véritable hercule au cou de Taureau.

« Je suis Brutus la brute, dit aussi le barbant Beefsteak !…
Le nouvel athlète de la FGB. Alors qui veut me servir de sparring partner ? »

« ih ih ih ih ! »

Brutus : « Qui ose rigoler ? »

Fin Foon Foon : « ih ih ih ih honorable athlète aux testicules de Yack. Moi Fin Foon Foon. »

Brutus : « Un pépé chinetoque. Je ne frappe pas les vieillards ! ».

Boggart apparaît : « Qui trouble ma sies… heu mon entraînement ».

Brutus : « Wouah ça shlingue ! »

Fin Foon Foon : « ih ih ih ih ! Hum… frais… Boggart ! »

Boggart : « Bizarre, je sens rien moi. »

Brutus : « Il est temps de sortir les poubelles ! »

Brutus veut saisir Boggart qui promptement l’évite, met ses deux doigts dans les yeux et commence à puncher Brutus qui ne voit pas son adversaire. Il finit par s’écrouler.

Boggart : « Bah ça ne vaut pas un bon sac de sable ». Boggart s’en va.

Fin Foon Foon : « ih ih ih ih ! »

Brutus se relève furieux et veut s’en prendre à Fin Foon Foon qui lui coupe le soufle d’un atémi porté sur la pomme d’Adam. Brutus se tient la gorge à deux mains. Fin Foon Foon se place derrière lui et pratique sa prise de finition dite « la prise vulcaine », tel Spock (oui oui celui de Star trek) il neutralise son adversaire d’une simple pression à l’arrière de l’épaule de son adversaire.

Brutus s’écroule pour le compte.

« ih ih ih ih ! ».

Le téléphone sonne et le lieutenant Micmacadam répond:

" Oui, lieutenant Micmacadam c'est pour quoi... "

" j'ai entendu des cris épouvantables dans une maison, je crois que c'est celle de ce catcheur, ce Vileny "

" Calmez vous. Où est cette maison ? "

" Au trois de la cuvette "

" Qui êtes vous ? .... allo ? allo ? "

Mais on avait raccroché.

POWER était fier de son coup. Depuis qu'il avait entendu ces rumeurs comme quoi Vileny était vraiment un tueur en série qui faisait filmer de vraies meurtres, il avait décidé de semer la confusion dans la tête de ce dernier. Et puis cela ferait une ordure de moins en liberté et surtout à la FGB. Il fallait déjà faire le ménage, un comble.

On sonne à la porte de la demeure de............ Vileny. ce dernier ouvre et fait face à une tripotée de flics dont l'un, visiblement le chef, lui tend un papier.

On a un mandat pour fouiller la maison.

Vileny les laisse entrer sans broncher. Et tous s'affairent à fouiller la barraque. Le " chef " s'approche.

La porte de votre cave est fermée à clé. Soit vous nous donnez gentiment les clefs, soit on défonce la porte.

Il sort les clefs de sa porte et lui donne

Tiens, on porte les clefs de sa cave sur soi, comme c'est curieux.

Ils ouvrent la porte et descendent doucement, pas tranquilles.

La cave ne ressemble pas à celle qu'on a vu dans la promo chef.

Il y a surement une autre cave, cherchez bien. répondit le susnommé à son collègue.


Ils passèrent du temps mais ne découvrirent rien d'incriminant sur Vileny. Ils partirent, s'excusèrent. Vileny leur dit qu'il comprennait et ne leur en voulait pas.
Puis de nouveau seul, il sourit. Un sourire lugubre, malsain. Comme si il était assez fou pour filmer sa propre cave...

Simple écran noir soudain une inscription en lettre de sang : " Il arrive ..."
bruit de chasse d'eau
inscrption identique :
" Dès qu'il a terminé "

THE BEST IN THE BUSINESS IS COMING TO BASTON!!!!!!

BE READY, CAUSE HE'S HERE!!!

[/i]Un semblant de personne apparu dans l'écran, mais dû à la noirceur de la pièce, nous sommes incapable de distinguer son identité

Homme: Non, c'est une blague, je ne suis pas si égocentrique que ça.. Mon nom n'est pas Gilberts V.1 tout de même.

Un grand OUFFF se fit entendre dans la pièce.

Homme: Alors, on ne m'a quand même pas oublié, ein? Kronos, Sharpy, Fire, on vient faire son tour dans une fédération de Baston sans même me prévenir? Je me devais bien de venir y jeter un coup d'oeil! Après tout, comment pourrais-je passer à côté d'une chance pareil, la chance de vous avoir pour la première fois dans un match, un contre un! Nous sommes loin de l'autre monde ici, pas de travail d'équipe, pas besoin de compter sur un autre, c'est seulement moi cette fois!

La silouhette s'approcha de la caméra, OH MY GOD, c'est Stunner (Avouez que vous ne l'auriez jamais deviné...

Stunner: And That's The Truth!!! Non, je blague, je blague, ici, ce n'est pas m3c et moi, c'est seulement Stunner, with my old motherfuckin' attitude! Mais, j'suis pas pressé, attendez vous pas à ce que je vienne éclater Sharpy au prochain show ou quelque chose du genre... J'vais prendre mon temps, évaluer la fédération, les failles dans la protection du poulin de Kronos, et quand j'aurai trouvé, là seulement, je viendrai faire mon tour dans la Grosse Baston! Understand?

Oh, et une dernière chose... I came to get down to get some fucking respect, taking it back to hardcore level, you better be ready 'cause Stunner is coming here!

Power tourne en rond dans sa salle de musculation.
Le coup d'envoyer les flics chez Vileny s'était révelé un fiasco. si il trouvait cette fameuse cave il serait en plus un héros.

Tandis qu'il cherchait un moyen, on sonna à la porte d'netrée de son immeuble. Il décrocha l'interphone et demanda qui c'était.

Aucune réponse.
Il trouva cela bizarre mais n'en tena pas rigueur. il reprit le chemin de sa salle de muscu pour un petit entrainement. Il faut toujours entretenir la forme.

L'interphone sonna de nouveau. Power demanda à nouveau qui c'était. Toujours aucune réponse.

Ah ces gosses...

Il reprit le chemin de sa salle d'entr... cela sonna encore.

Power: Qui est là ?

????: C'est le livreur de pizza je n'arrive pas à entrer, mon client ne répond pas.

Power: Je vous ouvre

????: Merci Power hahahahahahahaha


Power connaissait trop bien cette voix. Il venait d'ouvrir à Vileny.


Asuivre...

*Juste après la dernière promo de Fin Foon foon….*

Boggart qui avait oublié son litre d’alcool frelaté, fait demi-tour et aperçoit Fin foon foon qui est en train de mettre au tapis Brutus…

Boggart : Oh putain, comment t’a fait cela, mon p’tit père ??

Fin foon foon : ihihihih…vieille technique de mon village…

Boggart : Tu veux bien me l’apprendre dit ?? En échange je te frapperais pas.

Fin foon foon : Ihihihih, grand homme, le meilleur moyen d’apprendre, c’est dans un ring.

Boggart : Bon écoute, vieux sage, j’ai pas le temps d’attendre…Apprend moi tout de suite où je…

Fin foon foon : Patience…il te faut être plus patient. Tu dois savoir attendre autant que ta baignoire réussit à t’attendre pour ton bain annuel…ihihihih.

Boggart : Cette fois, ça va chauffer !!!

Boggart s’avance rapidement pour agripper fin foon foon, mais ce dernier profite de l’élan du grand clochard pour s’en servir à le faire basculer d’une prise…Boggart se retrouve à terre et…

Boggart : Oh putaiiiinnn… Comment t’as fait cela ??

Fin foon foon : tsst..tssst…tssst…Grande homme sale, doit d’abord laver sa bouche de toute ses paroles, s’il veut mon enseignement…

Boggart (se relevant) : Oh putain, arrête de faire de l’esprit…j’en ai mater pour moins que cela.

Boggart s’avance à nouveau, mais le sage fin foon foon, envoie un coup rapide à la carotide de Boggart…Ce dernier se tiens la gorge, les deux genou à terre…

Fin foon Foon : Hihihihi, c’est l’heure de ma méditation. Je dois communier avec les esprits de la nature.

Fin foon foon s’en va, laissant Boggart en train de se tenir la gorge et grommeler quelques insanité envers Fin foon foon.

Stunner déambule dans les couloirs tout heureux de découvrir la FGB lorsqu’il tombe nez à nez sur une vieille connaissance.

Stunner : « FireFighter ! Tu t’es aussi fait engager ici ?! »

Pegase : « À la FGB, on m’appelle Pegase et je ne me suis pas fait engager comme lutteur mais je représente les actionnaires. Je veille sur leurs intérêts en surveillant le GM Kronos. »

Stunner : « Cool ! J’ai hâte de commencer au prochain show. J’espère me qualifier au tournoi qui désignera le premier champion de la FGB. »

Pegase : « Ne te fatigue pas. En tant que représentant spécial des actionnaires, je t’annonce que tu ne corresponds pas au profil de champion. Je parraine déjà Destiny et l’Immortel.
Je ne t’ai jamais aimé Stunner toi et ta grande gueule.
Mais bon, je te souhaite quand même la bienvenue, on a toujours besoin de bon jobber… »

Stunner attrape et tord l’avant-bras droit de Pegase, l’obligeant ainsi à mettre un genou à terre.

Stunner : « Je crois qu’il est temps de mettre les choses au point. J’ai déjà remarqué qu’à la FNNF, tu me faisais passer pour un raciste. Mais tu es le type le plus intolérant que je connaisse. Si je ne rentre pas dans le moule bien lisse du champion idéal de Pégase, c’est parce que j’ai une vraie personnalité. Pour tes beaux yeux, je ne changerai pas. Je resterai fidèle à moi-même et à mon franc parlé que cela te plaise ou non. Je n’ai pas besoin de toi pour avoir un push. J’ai toujours du gagner à la sueur de mon front ce que j’ai obtenu. »

Stunner le lâche et s’en va ; Pegase le fixe dans une colère froide.

On retrouve boggart, dans les coulisses de la FGB…Il cherche un homme, mais qui ?? Boggart, sur sa recherche, retombe sur une journaliste.

Boggart : Hep toi, t’es journaliste hein ??

La journaliste : Oui…monsieur.

Boggart : Alors, ma p’tite chatte, tu va pouvoir me renseigner sur 2 questions…Tu peux me dire plus exactement, qui est ce « destiny » ??

La journaliste : C’est le chouchou de ses dames…C’est un homme bien…et ils viens toujours au bon moment, avec ses pains et ses mandales, c’est l’ami des femmes en détresse, c’est l’ami de la destinée.

Boggart : Cet phrase, me rappelle quelque chose….Chicorée…café…marron…couleur…irak….Oh putain….Tu fais chier la pute, tu me remémore mes pires cauchemar…salope !!!
Mais c’est pas grave, écoute, je l’ai vu ce destiny et on peut pas appeler cela un homme…Mais les femmes ont parfois des goûts étranges.
Sinon, la morveuse, tu vas pouvoir répondre à ma deuxième question.

La journaliste : Oui je…

Boggart : Ta gueule, j’ai pas encore posé la question…j’allais te demander si tu aurai pas vu un vieillard rabougri et à l’allure jovial ?? C’est pin pon poun…ou un truc comme cela.

La journaliste (apeuré) : F-Fin foon foon ??

Boggart : Ouais, tu l’a vu ???

Journaliste : Euh non…

Boggart : fais chier, tu pouvais pas mieux ouvrir tes yeux pétasse…Par ta faute, je vais devoir perdre mon temps à le chercher.

Journaliste : Mais…

Boggart : Oh tais-toi donc, et viens me faire un câlin pour te faire pardonner. J’ai envie de répandre ma semence…

Boggart s’approche de la journaliste effrayé et veux lui faire un câlin, quand tout à coup, retentit un « ihihihih » dans le dos de Boggart. Ce dernier tourne la tête et se prend deux claques sur les tempes, ce qui lui faire perdre momentanément l’équilibre. La journaliste en profite pour fuir….

Fin Foon Foon : Grand ami de la bouteille doit comprendre que l’on ne doit pas traiter, Dame exquise, ainsi.

Boggart : Bordel de merde, comment t’a réussit à me faire perdre l’équilibre en tapant sur mes oreilles ?? Et ne juge pas ma manière de séduire les femmes, vieux croûton…

FFF : Tssst, je vois que bouche, n’a toujours pas était à la blanchisserie.

Boggart : Bon vieux fou, je te cherchais…La semaine prochaine, j’ai un gros combat contre un dénommé destiny et j’aimerais que tu m’enseigne quelque technique de ton karaté bidule chouette, là.

FFF : Ihihihih…Quand grand homme ne sentira plus le vieux bouc des andes et arrivera à parler convenablement à une beauté de la nature, alors je commencerai à réfléchir à la requête.

Boggart : ok…ok….Dit moi c’est qui ce grand homme qui pue le bouc et qui parle mal à une grappe de raisin, que j’aille régler tout cela ?

FFF : Grappe de raisin ? Que veux tu dire par là, grand homme ?

Boggart : Bah, c’est la beauté de la nature, une grappe de raisin, non ?? c’est grâce à cette beauté, que je boit mon pinard.

FFF : ihihihih, tes aïeux on dû partir en exil, à ta venu sur cette terre…ihihihih.

Boggart : Quoi ??

FFF : ihihihih…C’est de l’esprit, grand homme…maintenant, va mener à bien ton périple et reviens moi purifier, si tu veux que je réfléchisse à ton apprentissage.

Fin foon foon, s’en va tranquillement et sereinement….Boggart le regarde partir….mais…

Boggart : Hep, il ressemble à quoi ce grand homme ?? Et c’est quoi finalement une beauté de la nature à qui ont doit bien parler ?? T’a pas une mission moins dure pour moi ??

On entend fin foon foon rire en continuant sa route….

Boggart parviendras t’il à trouver le grand homme qui pue le bouc ??
Boggart va-t-il trouver ce que c’est qu’une beauté de la nature ??
Fin foon foon, va-t-il vraiment réfléchir à prendre Boggart sous son aile ??
Destiny va-t-il survivre à son combat ??

La suite, au prochain numérooooooooooo……