Pretty & Dirty

Initialement, Dirty Joe et Pretty Rob sont des créations "littéraires" de Kronos datant du début du XXIème siècle, s'illustrant dans de très courtes nouvelles pour faire plaisirs aux amis de Kronos. La mode d'avoir des amis s'étant vite passées, ils sombrèrent dans l'oubli. Et pis, on ne sait comment, ils prirent vie. Et pis, on ne sait pourquoi, ils décidèrent de devenir catcheurs, comme à la télé, quand c'était Jean Brassard et Raymond Rougeau. Après avoir cherché à signer dans toutes les fédérations et plus récemment la FGB, ils tentèrent leur chance à la WWA mais n'arrivèrent pas à trouver l'entrée. Ayant entendu parlé de la FGM, ils reviennent et parviennent à obtenir leur chance. La persévérance paye. ( Ou pas, l'avenir nous le dira ).


Nos trublions ne sont pas racistes.
Pretty Joe: On n'est pas racistes nous.
Dirty Rob: T'y non on l'est pas, on n'aime pas les racistes nous.
Pretty Joe: C'est bien la preuve alors.


Mais faut avouer qu'ils le sont pas mal.
Pretty Joe: De toute façon, les racistes ce sont les étrangers.
Dirty Rob: Et nous t'y on n'est pas des étrangers.
Pretty Joe: On est blanc.


Pretty Joe (littéralement Joe la Pute ) tient son nom de son côté très engagé dans le social hérité du français de base de 1942.
Dirty Rob: T'y tu as vu la belle voiture du voisin ?
Pretty Joe: Mouais... Il ne va pas trop se la pêter, je l'ai dénoncé au fisc.
Dirty Rob: T'y, pourquoi tu as fait ça ?
Pretty Joe: Il a une plus belle voiture que la mienne.

En bref, Joe est un collabo.


Dirty Rob ( littéralement Robert le Dégueulasse ) tient son nom du fait qu'il est un véritable obsédé sexuel, dans tout ce qui y a de lourdingue et de gênant.
Pretty Joe: Quelle jolie fille !
Dirty Rob: T'y, je bande.
Pretty Joe: Robert, je te présente ma mère.
Dirty Rob: T'y, je bande.

Vous aurez remarqué que Dirty Rob emploi à chaque fois qu'il en a l'occasion, l'allocution "t'y". De nombreuses linguistes et chercheurs du CNRS se sont penchés sur le sens profond et caché de ce fameux "t'y". Ils ont dû s'avouer vaincu jusqu'à ce que l'un d'eux ai eu l'idée de poser directement la question à l’intéressé. Elle fut lourde de sens et mis fin à des années d'interrogation. Nous vous la retranscriptons telle quelle:

Dirty Rob: Bah t'y c'est t'y.

Voilà.


Notons pour la petite histoire, que les histoires dont ils furent les héros finissaient toujours de la même façon: la fin, au mieux, du monde. Espérons que cela reste du fantasme "littéraire".